23/12/2016

9 tableaux et leurs histoires

1. Sur ce tableau de Johan Zoffany, on peut assister à une tentative d'adoption. La femme devant la cheminée certifie que l'ignoble enfant roux devant elle a une âme, mais la femme au foulard bleu n'en a pas l'air si sûre. Le vieux, complètement dépassé par la situation, s'adonne à la consommation de crack, pour oublier que ce gosse aux allures de leprechaun leur traînera dans les pattes encore un bon moment.



2. Cette scène représente Roméo et Juliette. On est d'accord, on ne les imaginait pas aussi moches. Juliette porte des sabots de roumaine, ancêtre des crocs, et son visage laisse sérieusement à désirer. Roméo, pas dupe, s'apprête à se défenestrer pour ne pas avoir à se farcir ce cageot. En arrière-plan, on peut apercevoir un type chelou se pignoler devant la scène. Glauque.



3. Edgar Degas nous propose ici une nature morte représentant la pratique de la PLS. Alors oui, s'adonner à de telles pratiques dans une casserole géante est relativement sordide, mais ne jugeons pas cette femme qui, visiblement, peine à vivre en étant rousse. Il faut croire qu'à cette époque, les roux étaient des babtou fragiles.



4. Ce tableau nous prouve qu'avec un peu de drogue, tout est possible. Grands amateurs d'opium à l'époque, Gérald et Bérengère (ici représentés) se sont ensuite perdus dans le cosmos, mêlant héroïne et LSD. Gérald, persuadé d'être un centaure, se coupa les deux jambes. L'histoire raconte qu'ils ne sont jamais redescendus de leur trip hallucinogène.



5. Une très belle oeuvre qui représente Cunégonde rentrant d'une orgie. Ivre, épuisée, et le trou de balle en chou-fleur, la jeune femme s'est effondrée comme une petite merde dans le caniveau. Une chose est sûre, c'est que les soirées de son temps étaient bien plus hard que les nôtres.



6. Sur ce tableau, on peut voir Jason et Jessica devant le PMU, attendant leur père alcoolique qui s'est assoupi sur le trottoir. Dédé s'est murgé avec ses allocs et a oublié d'emmener les deux pédés à l'école. Pour la petite anecdote, sur cette oeuvre, Jason ne savait pas encore que sa sœur était en réalité sa mère. Une belle histoire de consanguinité.



7. Cette toile de Léonard De Vinci représente le petit Jordan tentant de faire un high kick à une brebis. Sa mère, qui l'a eu par accident, essaye de l'en empêcher, parce que cette putain de brebis sera leur unique repas pour les trois mois à venir. Dotée d'une grande patience, elle a toujours su maîtriser son marmot, bien qu'elle regorge d'une envie folle de l'empaler sur les montagnes en contre-bas.



8. Bon, là le message est clair: du cul. Oui, mais du cul immonde. Un fessier sur lequel on ne souhaite pas se prononcer, bien que les mots découlent de notre bouche comme un filet de vomi. Un fessier abject, qui représente les femmes d'antan comme des tonneaux d'huiles aussi pâle qu'un efferalgan. Une femme qui, sans aucun doute, a fini au bûcher après avoir posé pour cette peinture.



9. Sur ce tableau, Pamela essaye de convaincre ses parents fachos pour qu'ils acceptent qu'elle épouse Abdelkarim. Son père, coiffé comme un peigne-cul, semble désapprouver totalement cette union. Et sa mère, aussi coincé qu'un pain au lait dans l'oreille d'un enfant, paraît morte de l'intérieur. On dit que Pamela a fini par s'échapper de cette famille de cons pour vivre son amour au grand jour.


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